STATISTIQUES ACTUELLES : COMBIEN DE PERSONNES FUMERONT AU ROYAUME-UNI EN 2025

En 2023, 11,9 % des adultes au Royaume-Uni fumeront, contre 20 % en 2011. Cette forte baisse reflète l'impact des politiques et des campagnes de santé publique, ainsi que l'augmentation de la prévalence du vapotage et les preuves de son efficacité pour le sevrage tabagique. Cet article examine les tendances actuelles en matière de tabagisme, les variations régionales, les différences d'âge et de sexe, le nombre de fumeurs au Royaume-Uni et l'influence des facteurs socio-économiques sur les habitudes tabagiques.

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Principaux enseignements

• En 2023, la prévalence du tabagisme au Royaume-Uni aura baissé à 11,9 %, son niveau le plus bas depuis 2011, ce qui démontre l'efficacité des initiatives de santé publique et des e-cigarettes.

• L'âge, les facteurs socio-économiques et le sexe influencent considérablement les taux de tabagisme ; des interventions ciblées sont nécessaires pour répondre aux besoins démographiques spécifiques.

• Les variations régionales du taux de tabagisme nécessitent des stratégies de santé publique adaptées afin de réduire efficacement le tabagisme dans diverses localités et de mieux faire connaître le vapotage comme moyen d'arrêter de fumer.

Prévalence actuelle du tabagisme au Royaume-Uni

La prévalence du tabagisme au Royaume-Uni a atteint un niveau plancher sans précédent en 2025. Selon l'Office des statistiques nationales, en 2023, seuls 11,9 % des adultes britanniques fumeront, soit le niveau le plus bas enregistré depuis 2011 (1). Ce recul significatif par rapport au taux de tabagisme de 20 % en 2011 souligne l'efficacité d'une combinaison de nouveaux produits à base de nicotine, de campagnes de santé publique et d'interventions politiques visant à réduire le tabagisme.

La définition des fumeurs de cigarettes actuels, telle qu'elle figure dans l'enquête annuelle sur la population, fait référence au statut tabagique actuel des personnes de plus de 18 ans. Cette démarcation claire permet de saisir avec précision les habitudes tabagiques de la population adulte. La proportion estimée de fumeurs actuels n'a cessé de diminuer, reflétant les grands changements sociétaux et le succès des initiatives d'abandon du tabac.

Malgré ces progrès, il reste des défis à relever. La réduction des taux de tabagisme témoigne des efforts collectifs des organismes de santé, des décideurs politiques et du grand public. Toutefois, il est essentiel de comprendre les nuances de ces statistiques, telles que les variations en fonction de l'âge et de la région, pour poursuivre cette tendance à la baisse.

Taux de tabagisme par groupe d'âge

Les différents groupes d'âge présentent des tendances intéressantes en matière de prévalence du tabagisme. Les adultes âgés de 25 à 34 ans affichent le taux de tabagisme le plus élevé, soit 14,0 % en 2023. Les taux de tabagisme constamment plus élevés dans ce groupe d'âge suggèrent la nécessité d'interventions ciblées pour répondre à leurs besoins et défis spécifiques.

En revanche, les personnes âgées de 65 ans et plus affichent un taux de tabagisme nettement inférieur, soit 8,2 % en 2023. La sensibilisation accrue à la santé, la disponibilité des cigarettes électroniques et les taux d'abandon plus élevés contribuent probablement à la baisse du taux de tabagisme chez les adultes plus âgés. La tendance indique que les personnes plus âgées sont plus susceptibles d'arrêter de fumer, peut-être en raison de problèmes de santé et de conseils médicaux.

Les efforts de prévention du tabagisme se concentrent principalement sur les jeunes adultes et les adolescents. Bien que les données mettent principalement en évidence les habitudes tabagiques des adultes, ces tendances peuvent servir de base à des politiques visant à dissuader les jeunes de commencer à fumer. Les efforts d'éducation et de prévention du tabagisme chez les jeunes sont essentiels pour maintenir la baisse globale de la prévalence du tabagisme.

Variations régionales de la prévalence du tabagisme

Les taux de tabagisme varient considérablement d'une région à l'autre du Royaume-Uni. En 2023, l'Angleterre affichait une prévalence du tabagisme d'environ 11,6 %, tandis que le Pays de Galles enregistrait un taux légèrement plus élevé de 12,6 %. L'Écosse et l'Irlande du Nord affichaient des taux encore plus élevés, respectivement de 13,5 % et 13,3 %.

Les données des autorités locales révèlent des disparités encore plus prononcées. Fenland, en Angleterre, avait la prévalence du tabagisme la plus élevée, avec 22,1 % des adultes identifiés comme fumeurs actuels (2). South Holland arrive en tête des districts avec un taux de tabagisme de 26,3 % en 2023. À l'inverse, Woking affichait l'un des taux les plus bas, avec seulement 5,3 % de fumeurs parmi sa population adulte. Les autorités locales devraient prendre note de ces statistiques pour tenter d'établir les raisons sous-jacentes de ces différences régionales.

Il est prouvé que les taux d'abandon du tabac sont plus élevés dans les zones vertes, c'est-à-dire les zones ayant accès à la nature. Une étude menée en Angleterre a révélé que la prévalence des fumeurs actuels était inférieure de 20 % chez les personnes vivant dans le quartile "espace vert" le plus élevé par rapport à celles vivant dans le quartile "espace vert" le plus bas. Cette différence significative devrait être prise en compte par les décideurs politiques.

Ces variations régionales soulignent la nécessité d'adapter les stratégies de santé publique. Les régions où le taux de tabagisme est élevé peuvent bénéficier de programmes de sevrage tabagique et de campagnes de santé publique plus intensifs. Il est essentiel de comprendre ces nuances locales, y compris la moyenne régionale, pour réduire uniformément les taux de tabagisme dans l'ensemble du pays.

Facteurs socio-économiques et tabagisme

Les facteurs socio-économiques influencent considérablement les habitudes tabagiques. Les données révèlent une corrélation frappante entre le niveau d'éducation et la prévalence du tabagisme. En 2023, seuls 5,8 % des titulaires d'un diplôme étaient des fumeurs actuels, contre 27,4 % chez les personnes sans diplôme. Cette disparité souligne l'influence de l'éducation sur le comportement tabagique.

La situation professionnelle influe également sur les taux de tabagisme. Les personnes occupant des emplois routiniers et manuels avaient un taux de tabagisme de 20,2 %, contre 7,9 % pour les cadres et les professions libérales (3). Le taux de chômage est également lié à une prévalence plus élevée du tabagisme, 19,7 % des chômeurs étant considérés comme des fumeurs actuels.

Ces résultats soulignent la nécessité de mettre en place des interventions ciblées qui tiennent compte du contexte socio-économique. Pour être réellement efficaces, les efforts visant à réduire le tabagisme doivent porter sur des déterminants sociaux plus larges de la santé, notamment l'éducation et l'emploi.

Différences entre les sexes en matière de tabagisme

Les différences de taux de tabagisme entre les hommes et les femmes sont évidentes au Royaume-Uni. En 2023, 13,7 % des hommes et 10,1 % des femmes se déclareront fumeurs. Cette tendance à des taux de tabagisme plus élevés chez les hommes que chez les femmes est constante depuis 2011.

Le taux de tabagisme des hommes en Angleterre était de 13,4 % en 2023, contre 9,9 % pour les femmes. Certaines catégories démographiques, comme les femmes de la classe moyenne âgées de moins de 45 ans, affichent encore des taux de tabagisme relativement plus élevés, de l'ordre de 15 %. Ces nuances montrent qu'il est nécessaire de mettre en place des programmes et des stratégies de sevrage tabagique spécifiques à chaque sexe.

Il est essentiel de comprendre ces différences entre les sexes pour adapter les messages et les interventions de santé publique. La prise en compte des défis et des comportements propres à chaque sexe permet d'élaborer des stratégies de réduction du tabagisme plus efficaces et plus inclusives.

Tendances en matière de vapotage chez les adultes

L'essor du vapotage a introduit une nouvelle dimension dans les habitudes tabagiques au Royaume-Uni. En 2023, 5,9 % des adultes âgés de 16 ans et plus ont déclaré utiliser quotidiennement l'e-cigarette, contre 5,2 % en 2022. L'utilisation occasionnelle de l'e-cigarette a également augmenté pour atteindre 3,9 % au cours de la même période.

Le vapotage est particulièrement répandu chez les jeunes adultes. En 2023, 15,8 % des personnes âgées de 16 à 24 ans étaient des utilisateurs quotidiens d'e-cigarettes ou des vapoteurs occasionnels. L'augmentation de l'utilisation quotidienne d'e-cigarettes chez les hommes âgés de 25 à 34 ans, qui est passée de 7,4 % en 2022 à 10,2 % en 2023, confirme cette tendance.

L'augmentation du vapotage chez les jeunes suggère un changement dans les habitudes tabagiques, un plus grand nombre d'entre eux optant pour les e-cigarettes plutôt que pour les produits du tabac traditionnels. Cette évolution démontre l'efficacité des e-cigarettes en tant qu'alternative moins nocive au tabagisme, bien qu'une enquête d'Action on Smoking and Health ait révélé qu'environ 40 % des fumeurs britanniques pensent à tort que le vapotage est aussi nocif, voire pire, que le tabagisme. (4)

Bien que les gros titres concernant le vapotage aient été alarmistes, Public Health England maintient que les e-cigarettes sont 95 % moins nocives que les cigarettes de tabac (5). Le vapotage étant un outil de réduction des risques et les données indiquant que les e-cigarettes sont plus efficaces pour arrêter de fumer que les thérapies traditionnelles de remplacement de la nicotine, il est clair que les e-cigarettes ont un impact positif sur la réduction des taux de tabagisme.

Le vapotage chez les jeunes

La principale préoccupation liée à l'essor des e-cigarettes est le vapotage chez les mineurs. Il a été démontré que la nicotine a un impact sur le développement du cerveau, et il est donc très préoccupant que des jeunes de moins de 18 ans utilisent des vapes à la nicotine et que des entreprises de vapotage fassent du marketing auprès des jeunes.

Plusieurs mesures ont été prises pour lutter contre l'augmentation de l'usage de la vape par les mineurs, notamment l'interdiction de la vape jetable, qui entrera en vigueur en juin 2025. Cette interdiction rend illégale la vente de vapes jetables, dont beaucoup se retrouvent entre les mains de jeunes de moins de 18 ans. Ainsi, alors qu'il est déjà illégal de vendre des produits à base de nicotine aux moins de 18 ans, les magasins de détail ne pourront plus stocker de vapes jetables, ce qui réduira la disponibilité des vapes jetables en général.

Des amendes plus importantes et des peines d'emprisonnement plus sévères pourraient être nécessaires pour éliminer complètement les détaillants qui ont vendu aux enfants, mais le retrait des vapes jetables du marché rendra l'accès aux produits de vapotage à base de nicotine beaucoup plus difficile pour les moins de 18 ans.

Arrêt du tabac : Taux d'arrêt et réussites

Les efforts de sevrage tabagique ont connu un succès remarquable. Des programmes comme Stoptober se sont révélés très efficaces, les participants étant cinq fois plus susceptibles de rester non-fumeurs après 28 jours. Ces campagnes ont contribué de manière significative à la baisse des taux de tabagisme.

Le Royaume-Uni a mis en place un programme"swap to stop" (échangerpour arrêter) dans le cadre duquel les fumeurs de cigarettes pouvaient échanger leurs cigarettes contre un kit de démarrage pour la vape et un soutien comportemental pour les aider à arrêter de fumer (6). Cela montre que les autorités britanniques reconnaissent la valeur de réduction des risques des e-cigarettes, ainsi que leur pertinence en tant que méthode pour arrêter de fumer.

L'arrêt du tabac présente des avantages considérables pour la santé. Par exemple, l'arrêt du tabac peut ralentir la progression de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et améliorer la fonction pulmonaire. Ces améliorations de la santé sont de puissants facteurs de motivation pour les personnes qui souhaitent arrêter de fumer.

La mise en évidence des réussites et des taux d'abandon du tabac donne de l'espoir et encourage davantage de fumeurs à faire le premier pas vers l'arrêt du tabac. L'impact collectif de ces réussites individuelles se traduit par une population plus saine et une réduction significative des maladies liées au tabagisme, contribuant ainsi à l'amélioration de la santé.

Impact du tabagisme sur la santé

Les effets du tabagisme sur la santé sont graves et bien documentés. Le tabagisme est la première cause de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), représentant environ 90 % des cas. Le tabagisme est également l'une des principales causes de divers cancers, notamment le cancer du poumon, de la gorge et de la bouche. Le tabagisme réduit la fonction immunitaire, ce qui rend les individus plus sensibles aux infections.

Au Royaume-Uni, environ 80 000 décès par an sont attribués au tabagisme (7). L'espérance de vie globale des fumeurs est nettement inférieure à celle des non-fumeurs en raison des maladies liées au tabagisme. En fait, une étude récente a montré qu'en moyenne, une cigarette vous fait perdre 20 minutes de vie!

Le tabagisme exacerbe les maladies cardiovasculaires, augmentant le risque de crises cardiaques et d'accidents vasculaires cérébraux. Ces conséquences sur la santé soulignent l'importance cruciale du sevrage tabagique et la nécessité de poursuivre les efforts de santé publique pour réduire les taux de consommation de cigarettes.

Comparaisons mondiales : Interdictions de fumer et efforts de réduction

Plusieurs pays ont mis en place des mesures efficaces d'interdiction et de réduction du tabagisme. Au Mexique, des lois anti-tabac strictes interdisent de fumer dans les lieux publics tels que les plages et les parcs (8), ce qui a contribué à réduire la prévalence du tabagisme. La France a enregistré une baisse notable des taux de tabagisme chez les jeunes adultes à la suite de la mise en œuvre d'interdictions de fumer dans les espaces publics.

Les lois australiennes sur l'emballage neutre des produits du tabac ont permis de réduire les taux de tabagisme. L'approche innovante de la Nouvelle-Zélande consiste à relever progressivement l'âge légal pour fumer, afin de rendre le tabagisme illégal pour les générations futures. Le Canada progresse également, avec pour objectif de réduire le tabagisme à moins de 5 % d'ici à 2035.

Ces comparaisons mondiales offrent un aperçu précieux de l'efficacité des différentes stratégies de réduction du tabagisme. Les enseignements tirés de ces exemples internationaux peuvent aider le Royaume-Uni à renforcer ses efforts pour réduire la prévalence du tabagisme et améliorer la santé publique.

Sources de données et méthodologie

Les principales sources de données pour les statistiques sur le tabagisme au Royaume-Uni sont l'Annual Population Survey (APS) et l'Opinions and Lifestyle Survey (OPN). Ces enquêtes collectent des données auprès des résidents britanniques âgés de 18 ans et plus en utilisant diverses méthodes, notamment des enquêtes en face à face et en ligne. Des ajustements méthodologiques, tels que la mise à jour des méthodes de pondération, garantissent des estimations précises de la prévalence du tabagisme, compte tenu notamment de l'impact de COVID-19 et de l'office des statistiques nationales.

Des intervalles de confiance sont appliqués pour évaluer la fiabilité des estimations de la prévalence du tabagisme, ce qui permet de tenir compte de la variabilité et de garantir des comparaisons solides. Ces considérations méthodologiques sont cruciales pour fournir des données précises et fiables afin d'éclairer les stratégies de santé publique.

Résumé

L'analyse des statistiques actuelles sur le tabagisme au Royaume-Uni révèle une nation qui fait des progrès considérables dans la réduction de la prévalence du tabagisme. Avec des taux de tabagisme qui n'ont jamais été aussi bas, l'impact des campagnes de santé publique ciblées et des interventions politiques est évident. Toutefois, des défis subsistent, notamment en ce qui concerne les disparités régionales et socio-économiques.

Il est essentiel de poursuivre les efforts pour maintenir ces progrès. En se concentrant sur des interventions adaptées et en s'inspirant d'exemples mondiaux, le Royaume-Uni peut encore réduire les taux de tabagisme et améliorer les résultats en matière de santé publique. L'effort collectif des individus, des organisations de santé et des décideurs politiques ouvre la voie à un avenir plus sain et sans tabac.

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Questions fréquemment posées

Quelle est la prévalence actuelle du tabagisme au Royaume-Uni ?

La prévalence actuelle du tabagisme au Royaume-Uni est de 11,9 %, soit le niveau le plus bas enregistré depuis 2011. Cela reflète les efforts continus pour réduire les taux de tabagisme au sein de la population.

Quelle est la tranche d'âge la plus touchée par le tabagisme au Royaume-Uni ?

Les adultes âgés de 25 à 34 ans ont le taux de tabagisme le plus élevé au Royaume-Uni, soit 14,0 % en 2023.

Comment les taux de tabagisme varient-ils par région au Royaume-Uni ?

Les taux de tabagisme au Royaume-Uni varient selon les régions, l'Angleterre se situant à 11,6 %, le Pays de Galles à 12,6 %, l'Écosse à 13,5 % et l'Irlande du Nord à 13,3 % en 2023. Cela indique une prévalence plus élevée du tabagisme dans les régions septentrionales par rapport à l'Angleterre.

Quels sont les facteurs socio-économiques qui influencent les habitudes tabagiques ?

L'éducation et la situation professionnelle sont des facteurs socio-économiques importants qui influencent les habitudes tabagiques, comme le montrent les taux de tabagisme plus faibles chez les titulaires d'un diplôme que chez les personnes sans qualification. Par conséquent, l'amélioration des possibilités d'éducation peut contribuer à réduire la prévalence du tabagisme.

Quels sont les effets du tabagisme sur la santé ?

Le tabagisme augmente considérablement le risque de maladie pulmonaire obstructive chronique, de divers cancers, d'affaiblissement de la fonction immunitaire et de maladies cardiovasculaires, contribuant à environ 80 000 décès par an au Royaume-Uni. Donner la priorité au sevrage tabagique peut améliorer considérablement l'état de santé général.

RÉFÉRENCES

(1) ONS : Habitudes tabagiques des adultes au Royaume-Uni : 2023

(2) Fenland est le district du Royaume-Uni ayant le pourcentage le plus élevé de fumeurs - voyez où se situe votre région.

(3) ASH : Statistiques sur le tabagisme

(4) ASH : Quatre fumeurs sur dix pensent à tort que le vapotage est aussi ou plus nocif que le tabagisme

(5) Les e-cigarettes sont environ 95 % moins nocives que le tabac, selon une étude de référence

(6) Les fumeurs sont invités à échanger leurs cigarettes contre des vapes dans le cadre d'un programme inédit au niveau mondial

(7) NHS : Statistiques sur le tabagisme, Angleterre 2020

(8) Lois sur la lutte antitabac : Mexique

À PROPOS DE L'AUTEUR

Écrit par Dan Overgage

Dan Overgage est un ancien fumeur depuis 10 ans jusqu'à ce qu'il devienne client des e-cigarettes SMOKO. Dan a commencé à travailler avec SMOKO il y a 5 ans après avoir réussi à arrêter de fumer en utilisant nos e-cigarettes. Il travaille au sein de notre service clientèle et dirige la création de contenu et la recherche, en mettant l'accent sur tout ce qui concerne l'arrêt du tabac. Depuis qu'il travaille pour SMOKO, Dan a écrit d'innombrables blogs et consulte chaque jour d'innombrables clients pour les aider à rester non-fumeurs.